FILMS (LFF 2022) : The Blaze – Critique
La meilleure révélation de tout cela est que les Français peuvent faire des films à mi-catastrophe aussi bien que les Américains. Il frappe tous les tropes, embrasse l’éco-thriller et garde les choses bien ancrées – nous emmenant dans le dernier des habitants d’un village, un homme et son fils – qui fuient un village en fuite d’un enfer imparable . La véritable horreur de ce à quoi ils sont confrontés devient évidente au fur et à mesure – des cerfs en feu se précipitent dans leur voiture et, finalement, brûlent des gens. C’est une montre effrayante et sans compromis qui emballe beaucoup dans son exécution.
C’est juste dommage que la plupart d’entre eux ne soient que des tropes; mais cela ne veut pas dire qu’il fait bien les tropes. L’arc de la route vers la rédemption est géré aussi bien qu’il aurait pu l’être dans un film comme celui-ci pour son personnage principal; Simon d’Alex Lutz, aidant son vieux père Joseph, joué par André Dussollier à s’échapper du village. Le lien père fils/parental est passé au microscope tandis que Joseph raconte ses vieilles histoires ; le couple maximisant sa connaissance des routes locales du sud de la France afin de s’échapper.
Le réalisateur Quentin Reynaud fait un travail incroyable pour capturer la panique pure d’une évacuation soudaine, faire ses bagages et quitter la maison et espérer que votre maison ne soit pas détruite afin que vous ayez quelque chose à retourner. C’est assez réaliste ! Je ne suis pas sûr d’avoir vraiment acheté la fin quand il entre dans son troisième acte mais le premier acte et la mise en place là-bas sont le film à son meilleur quand il est dans l’inconnu, et il semble déjà long à 85 minutes. Quand c’est en forme, c’est opportun et claustrophobe, mais je suis tellement content Athéna a gardé son rythme soutenu pendant toute la durée d’exécution.
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Source : https://www.spoilertv.com/2022/10/movies-lff-2022-blaze-review.html